Les rêves, le réel, l'imaginaire. Un jeune garçon fait une maquette. Un écrivain écrit et se pose beaucoup de questions. Le chanteur JGJ, lui, disparaît. Grual suit la piste.

LE REEL DE L’IMAGINAIRE Le réel du quotidien est souvent pour nous tous un endroit d’où on a du mal à sortir. Il nous reste alors l’imaginaire, l’unique, celui qui peut tout. Mon plus grand plaisir est de marcher sur la frontière du Réel et de l’Imaginaire. Sur cette zone grise où l’on ne sait plus qui est qui ? Où est le vrai ? Où est le faux ?  Nul ne le sait.  Le faux paraît plus vrai que le vrai, le vrai, plus faux que le faux.  Une chose est sûre, l’histoire que je m’apprête à vous raconter existe bien, elle. Elle s’est qualifiée pour cette série Le réel de l’Imaginaire. Nous commencerons notre exploration en arpentant le Journal d’un écrivain épileptique. Allez-vous vous aussi TUER LA BETE ?

JGJ a disparu. Grual mène l'enquête. Il suit la piste de Cohzac et Fiaro... La Bête elle, ne donne plus de signe de vie.  Mais peut-on vraiment se séparer de la Bête ?

Voici venu le temps de la fin. Fin d'enquête pour Grual. Fin de la foule pour JGJ. Fin de partie pour la Bête.  Au final, il reste une chose.  Le lien. De toute façon, la Bête reviendra, une fin n'est rien pour la Bête.

Octavia, ancêtre de quatre-vingt-dix-neuf ans se souvient de la gitane  qui autrefois avait eu ces quelques mots : « tu auras un fils, un fils unique.  Un fils eunuque. Ce fils ne donnera pas d’enfants à cette terre. Il fera  beaucoup plus. Il sera dans les lettres, et le monde se souviendra de lui, aussi  longtemps que les lettres seront lettres. Va ! ».   Diego, son fils, voit son métier changer de jour en jour. Postier de son  état, il subit de plein fouet la diminution du volume de courrier. Il ne peut  laisser faire cela, il crée le Cercle Des Lettres Disparues.  Une aventure  ubuesque, un conte moderne où l’homme se lève et se découvre. La transmission, l’amitié, le travail, l’enfance, la solitude, le voyage,  l’amour, la terre, la mort, autant d’épreuves d’où naissent les volcans. Autant  de cendres, de lave, de pierres en fusion. Mais, une chose est certaine, les  volcans ne s’éteignent jamais.

Octavia, ancêtre de quatre-vingt-dix-neuf ans se souvient de la gitane  qui autrefois avait eu ces quelques mots : « tu auras un fils, un fils unique.  Un fils eunuque. Ce fils ne donnera pas d’enfants à cette terre. Il fera  beaucoup plus. Il sera dans les lettres, et le monde se souviendra de lui, aussi  longtemps que les lettres seront lettres. Va ! ».   Diego, son fils, voit son métier changer de jour en jour. Postier de son  état, il subit de plein fouet la diminution du volume de courrier. Il ne peut  laisser faire cela, il crée le Cercle Des Lettres Disparues.  Une aventure  ubuesque, un conte moderne où l’homme se lève et se découvre. La transmission, l’amitié, le travail, l’enfance, la solitude, le voyage,  l’amour, la terre, la mort, autant d’épreuves d’où naissent les volcans. Autant  de cendres, de lave, de pierres en fusion. Mais, une chose est certaine, les  volcans ne s’éteignent jamais.

Diego découvre la vie sans Léon.  Il se bat  et décide d'aller voir sa mère. Léon lui vit de toutes petites choses...